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Le Bullet Journal : Mes débuts ! – BuJo simple et pragmatique – Humeur #4

Bonjour ! Tout d’abord, n’hésitez pas à aller faire un tour sur ma chaine YouTube : https://www.youtube.com/channel/UC5E7rq1m2Shyp2eHKCYd5IA

N’ayant jamais délaissé l’agenda « papier » pour une version électronique, j’étais convaincue depuis un bail que le Bullet Journal serait fait pour moi ! Mais je n’osais pas me lancer, voyant des idées de pages sur Pinterest ou encore Youtube extrêmement sophistiquées.

Mais qu’est-ce qu’un Bullet Journal au fait ?

Ce système d’organisation a été inventé par le designer américain Ryder Caroll. Personnellement, je dirais que c’est un mix entre l’agenda et le journal presqu’intime permettant une gestion optimale de son quotidien.

Et ça y est ! Après des semaines d’hésitations et de recherches, j’ai enfin compris que le BuJo ne devait pas forcément être une espèce d’œuvre d’art composée de dessins et de calligraphie ! Je voulais faire simple, et ne pas perdre de temps sur un outil qui était censé m’en faire gagner !

En termes d’investissements, c’est tout à fait accessible. J’ai acheté une petite latte et un cahier. Pas n’importe lequel, mon choix s’est porté sur le Goalbook Rhodia de Clairefontaine, format A5, avec des pages à points (19,23 euros). Je suis restée fidèle à mon classique bic 4 couleurs, mais j’avoue avoir bien envie de craquer sur des feutres fins et colorés.

J’ai commencé mon BuJo le 12 novembre 2018. C’est très récent mais j’ai déjà fait quelques ajustements en si peu de temps. Et c’est ça l’avantage du BuJo : la possibilité de le personnaliser à l’infini et à sa guise.

Voici les différentes sections qui composent mon mois de Janvier 2019 :

Mon Bullet journalChaque semaine se situe sur une double-page divisée horizontalement en 8 rectangles. Le dernier me sert à noter une liste de choses à faire au sein de cette semaine sans les dater et ainsi les répartir comme bon me semble.

Quand la tâche est remplie, je me sers de ce symbole V ; Si elle ne l’est pas, de celui-ci > et je la note à un jour ultérieur tout aussitôt.

– Il y a ensuite une page qui s’intitule « Objectifs Janvier 2019 » où j’inscris un récapitulatif de différents sujets faits ou à faire comme mes idées d’articles, mes films et séries vus, …

– Je passe ensuite aux « trackers ». Sur la première page se trouve une liste d’activités ne nécessitant pas de commentaires mais méritant d’être suivis comme le sport, l’alimentation, le ménage, …

Sur la seconde page, j’ai un tracker ayant pour seul sujet mon sommeil. Ayant des nuits troublées depuis une quinzaine d’années, je devais par le passé remplir un tableau conçu par le réseau Morphée, mais auquel je ne me tenais pas. Je m’en suis inspirée et l’ai ainsi intégré dans mon BuJo, ce qui fonctionne beaucoup mieux qu’une feuille volante trainant sur ma table de nuit. La mise en page est légèrement différente, mais c’est à peu de choses près le même principe (heure de coucher/lever, commentaires, heures de sommeil, …).

Il y aura forcément des évolutions au fil des mois et de mon expérience, mais voici les essentiels qui composent mon BuJo. Je dois mettre une petite demi-heure à préparer un mois entier, ce qui me semble un bon rapport temps/bénéfices.

Mais en vrai, à quoi ça sert ?

J’avoue que je me sers toujours de mon agenda papier car il est petit et se transporte partout. Mais grâce au BuJo, j’y note mes rendez-vous, et plus rien d’autre ! C’est le seul point sur lequel on peut penser qu’il y a doublon, mais en fait, ça me permet de clarifier et de différencier « tâches » et « rendez-vous ». La première fonction du BuJo est donc de clarifier son organisation.

Ensuite, cet outil me permet d’optimiser mes journées. Ayant une vision claire de ma semaine, je peux dispatcher les différentes tâches sans être submergée inutilement et par conséquent, être découragée.

Enfin, il centralise toutes les informations. Avant, je faisais des to-do lists sur des fiches. Je les perdais, je ne m’y retrouvais pas. Ensuite, je notais tout dans mon agenda, mais j’avais beaucoup de mal à m’y retrouver et à prioriser. Quand je me sentais éparpillée, je prenais une feuille et je notais des envies, objectifs, … qui finissait toujours à la poubelle 6 mois plus tard car oubliée au fond d’un tiroir. Là, j’ai tout dans un cahier, et symboliquement, il n’est plus question « d’oublier » un objectif.

J’ai encore du chemin à faire dans la construction de mon Bullet Journal. Je suis sûre qu’il y a d’autres choses, comme l’utilisation de symboles, à mettre en place pour utiliser cet outil merveilleux de façon optimale. Mais j’encourage d’ores et déjà tous ceux qui auraient envie de se lancer dans ce système d’organisation à le faire sans plus tarder ! Des plus pragmatiques au plus créatifs, le Bullet Journal est fait pour tous. Il se décline à l’infini et reste un outil très personnel. Je l’utilise quotidiennement, et je suis désormais plus productive, organisée et motivée. Certes, il doit y avoir une part d’autosatisfaction, mais on a que le bien qu’on se fait, non ? Ce que je sais, c’est que 2019 s’annonce riche et mystérieuse, et accompagnée de mon BuJo ! Et vous, qu’est-ce qui vous accompagne en 2019 ? Dites moi tout ça en me rejoignant sur Facebook : https://www.facebook.com/Meloditdubonheur ! ou sur Instagram : https://www.instagram.com/meloditdubonheur/

0 commentaire

  1. Sandro a dit :

    Si un jour j’ai des objectifs et des tâches, je me fais un BuJo, ça a l’air sympa 🙂

    1. C’est le cas ! Et même, parfois, ça aide à en créer 😉

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